La belle série – trois victoires – des Royannais a pris fin ce samedi soir, face à Cannes (1-3), devant une foule record (plus de 1 000 spectateurs). Pourtant tout avait bien démarré pour eux. Sans aucun complexe face à des Sudistes au palmarès impressionnant (10 titres de champions de…
La belle série – trois victoires – des Royannais a pris fin ce samedi soir, face à Cannes (1-3), devant une foule record (plus de 1 000 spectateurs). Pourtant tout avait bien démarré pour eux. Sans aucun complexe face à des Sudistes au palmarès impressionnant (10 titres de champions de France), les Saintongeais accomplissaient un premier set de haut vol avec un bloc impérial. « Quand on gagne le premier set, on s’est dit que c’était jouable. Mais ensuite on a baissé de qualité », expliquait le libéro Anthony Chaillou. 25-23 pour ses chouchous, l’Espace Cordouan était en ébullition.
Malheureusement, Royan ne parviendra pas à tenir la cadence. Avec leurs 8 joueurs étrangers, les Cannois haussaient le ton et remportaient facilement le second set (18-25). C’est lors du troisième que le sort de la rencontre allait se sceller. « Nous avons manqué de la lucidité dans cette manche, on a deux ballons qui viennent en retour direct et que l’on négocie très mal », convenait Grégory Alleix, le coach local. Menés de cinq points (17-22), les Pirates effectuaient un beau retour (23-23) mais commettaient deux erreurs dans le money time (23-25).
« Pas à rougir »
« Nous avons raté trop de choses faciles à ce niveau-là, c’est ça qui fait la différence. Nous ne pouvons que nous en vouloir », déplorait le réceptionneur-attaquant Jean Oriol. Les coéquipiers de Thiébault Bruckert encaissaient le coup mais abordaient le quatrième set avec beaucoup de détermination, menant rapidement (8-4). Sauf que les Cannois ne figurent pas dans le haut du tableau par hasard. Avec méthode, ils revenaient dans la partie et se nourrissaient des erreurs maritimes (13-13). Les rentrées de Petro et Bezault redonneront un peu d’allant aux Pirates mais l’expérience des Azuréens faisait la différence : de 16-16, le score passait à 16-19. Malgré un sursaut d’orgueil, les Royannais perdaient le quatrième set, et donc la rencontre.
« Nous n’avons pas à rougir de notre résultat, mais nous sommes tous déçus parce que je pense qu’on aurait aimé disputer le cinquième set et prendre au moins un point », déplorait Grégory Alleix. Le coach se projetait vite sur le déplacement à Ajaccio (leader de la poule), une semaine plus tard : « Nous nous étions fixé comme objectif de prendre un point pour ces deux matchs, ce n’est pas impossible. » Jean Oriol ne baissait pas la tête après ce revers face à un cador : « On va vite relativiser parce qu’on est déjà maintenu en janvier et ça, c’est super pour une équipe de bras cassés comme nous… »
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