Les bons souvenirs sont encore présents dans les mémoires. La Solitaire du Figaro, l’une des plus prestigieuses courses au large de la voile française, a déjà fait étape à Royan en 2022. Et ça avait été un franc succès. Que ce soit sur l’eau, avec un beau spectacle lors du départ de la dernière étape le dimanche 4 septembre…
Les bons souvenirs sont encore présents dans les mémoires. La Solitaire du Figaro, l’une des plus prestigieuses courses au large de la voile française, a déjà fait étape à Royan en 2022. Et ça avait été un franc succès. Que ce soit sur l’eau, avec un beau spectacle lors du départ de la dernière étape le dimanche 4 septembre sous un grand soleil, ou à terre avec le village d’arrivée situé esplanade Kérimel-de-Kerveno avec toutes ses animations. La promesse d’un nouveau rendez-vous avait d’ailleurs tout de suite été avancée. Il ne s’est passé que deux ans avant que la Communauté d’agglomération Royan Atlantique (Cara) ne retape à la porte de l’organisation pour savoir si elle était intéressée pour refaire escale sur la Côte de Beauté.
L’affaire a vite été entendue et la 55e édition de la Solitaire repassera par Royan du 4 au 8 septembre 2024 pour un budget prévisionnel estimé à 295 328 euros. Les élus misant sur des retombées économiques et, surtout, sur un rayonnement au-delà des frontières du Pays royannais et du département.
Une première en 1970
« C’est une très belle opportunité. Il est important qu’on mette en valeur des sports qui représentent l’identité de notre territoire. Tout ce qui est lié aux activités nautiques en fait partie. C’est dans notre ADN et on doit être perçu comme tel. Dans ville de bord de mer il y a mer avec tout ce que ça représente. L’Office de tourisme communautaire soutient en tout cas cette initiative à fond. Il est même envisagé qu’on organise la soirée des partenaires au Palais des congrès », confie le directeur de l’OTC Elie de Foucauld.
Il est vrai que la Solitaire du Figaro bénéficie d’une belle audience. C’est en 1970 que s’est déroulée la première édition de la course. Elle s’appelait alors la course de l’Aurore parce qu’organisée par le journal du même nom. C’est en 1980 que « Le Figaro » a racheté l’événement qui porte maintenant son nom.
Fanny Blanchard
La course est alors passée sur des prototypes half tonners dessinés à l’origine pour la course en équipage. En 1991, un nouveau cap fut franchi avec l’arrivée du Figaro Beneteau I, spécialement conçu par Jean-Marie Finot pour la course en solitaire. On en est aujourd’hui à la troisième génération de ce bateau avec un premier monotype à foils de série au monde.
Reconnaissance
La course prend, historiquement, toujours son départ de France et elle offre, selon les éditions, des escales dans des pays étrangers, en particulier en Espagne, en Irlande et en Grande-Bretagne. D’où un rayonnement international. Ce qui n’est pas pour déplaire aux élus de la Communauté d’agglomération Royan Atlantique. Le maire de Royan Patrick Marengo et le président de la Cara Vincent Barraud en salivent déjà. Pour eux, c’est le gage d’une reconnaissance, aussi, du milieu de la voile.
« Le site royannais se prête à ce genre d’événement. On a un port qui est proche du centre-ville avec une esplanade dans son prolongement et une vue directe sur les bateaux depuis le village », constatait Malo Le Peru, chef projet de la Solitaire du Figaro en 2022.
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