Pas de fermeture ni d’ouverture de classe. À Royan, la rentrée s’est déroulée sans accroc. Le nombre d’écoliers, lui, reste stable avec un peu plus de 1 100 enfants inscrits en comptant le secteur privé…
Pas de fermeture ni d’ouverture de classe. À Royan, la rentrée s’est déroulée sans accroc. Le nombre d’écoliers, lui, reste stable avec un peu plus de 1 100 enfants inscrits en comptant le secteur privé. « On reste dans la dynamique constatée lors de la précédente rentrée où on a pu compter sur l’arrivée de jeunes couples avec enfants grâce aux programmes immobiliers de la Glacière, du Clos Pasteur ou encore de la rue Étienne-Robin. Les écoles Jean-Papeau et Louis-Bouchet en ont profité », rappelle Liliane Isendick-Malterre, adjointe au maire en charge des affaires scolaires.
L’élue scrute en effet les projets immobiliers à la loupe, ces derniers pouvant déterminer une modification de la carte scolaire. C’est ce qui se passera sans doute avec les 200 logements, dont 120 logements locatifs sociaux, prévus en lieu et place du centre technique municipal de l’avenue de Rochefort. « Il faudra sans doute répartir les enfants entre les écoles Jean-Papeau et Louis-Bouchet. On va aussi avoir la livraison de la résidence l’Orée du Parc, sur le site de l’ancienne usine à gaz, qui va profiter à l’école la Clairière. Le programme des Hauts de Royan, qui va naître sur les cendres des tours de la Robinière, drainera quant à lui certainement des enfants à l’école de l’Yeuse. »
Une période favorable
On l’aura compris, les effectifs scolaires sont étroitement liés au dynamisme de la construction immobilière. La Ville de Royan mange certainement son pain blanc, comme les autres communes d’ailleurs, dans ce domaine. Avec la raréfaction du foncier et les orientations du Scot (Schéma de cohérence territoriale) qui vont limiter la consommation foncière, les prochaines années risquent d’être moins joyeuses.
D’autant plus que la politique n’est pas d’attirer des écoliers d’autres communes. « Nous n’accordons des dérogations qu’au compte-gouttes. Il faut une raison solide », prévient Liliane Isendick-Malterre qui pourra compter sur une enveloppe de 160 000 euros TTC pour réaliser les travaux dans les différentes écoles cette année.
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