Une certaine confusion continue à régner autour de la désignation par l’État de la commune de Saint-Sulpice-de-Royan comme hôtesse de la nouvelle brigade de gendarmerie promise au Pays royannais. Breuillet a longtemps tenu la corde. Les militaires plébiscitaient eux-mêmes cette…
Une certaine confusion continue à régner autour de la désignation par l’État de la commune de Saint-Sulpice-de-Royan comme hôtesse de la nouvelle brigade de gendarmerie promise au Pays royannais. Breuillet a longtemps tenu la corde. Les militaires plébiscitaient eux-mêmes cette implantation. « Le commandant du groupement de gendarmerie de la Charente-Maritime me l’avait dit, d’ailleurs », confirme Christian Pitard, le maire de Saint-Sulpice-de-Royan. Lui-même n’a d’ailleurs été sûr que la candidature de sa commune avait été retenue que « vers 18 h 15 lundi, quand le président de la Communauté d’agglomération Vincent Barraud est sorti du bureau du préfet ».
Dans un communiqué, le député de la 5e circonscription Christophe Plassard (Horizons, majorité présidentielle) a d’ailleurs « remercié » Vincent Barraud et la Communauté d’agglomération Royan Atlantique (Cara) « pour avoir répondu rapidement et efficacement à l’appel à projets lancé par le ministère de l’Intérieur, en s’engageant à financer et construire, sur son territoire, des locaux de travail et d’habitation qui profiteront aux deux intercommunalités. Après la construction de la brigade de La Tremblade et la réhabilitation de celle de Cozes, la Cara démontre une nouvelle fois son investissement pour la sécurité de tous. »
« Peut-être pas fait »
Joint brièvement ce mardi 3 octobre, le maire de Breuillet, Jacques Lys, ne masquait pas, lui, sa déception, pour ne pas dire son amertume. « Que dire ? La décision est prise. Quoique, tout n’est peut-être pas encore joué », laissait entendre l’édile sur un ton énigmatique.
Si le ministère de l’Intérieur ne revient pas sur son choix, la municipalité de Saint-Sulpice-de-Royan n’aura qu’une modification mineure à apporter à son plan local d’urbanisme pour permettre la construction de cette nouvelle brigade sur le terrain de 17 000 mètres carrés que la commune possède face à la zone d’activité de la Queue de l’Âne. L’affaire semble donc attendue. « À suivre », semble vouloir nuancer Jacques Lys.
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