Le centre équestre de Royan retrouve le lustre qu’il a connu aux plus belles heures de son Jumping, un concours de saut d’obstacles international (CSI) 3 étoiles qui attirait, déjà, des grands noms de la scène équestre mondiale. Jusqu’au dimanche 30 juin, le Jumping est de retour, avec ce même label 3 étoiles, sa dotation en conséquence, 141 000 euros, dont…
Le centre équestre de Royan retrouve le lustre qu’il a connu aux plus belles heures de son Jumping, un concours de saut d’obstacles international (CSI) 3 étoiles qui attirait, déjà, des grands noms de la scène équestre mondiale. Jusqu’au dimanche 30 juin, le Jumping est de retour, avec ce même label 3 étoiles, sa dotation en conséquence, 141 000 euros, dont 58 600 euros pour le seul Grand Prix programmé dimanche à partir de 14 heures, ses épreuves à la difficulté progressive, ses noms clinquants.
Ce sont même deux concours internationaux que le Royan Horse Club propose aux cavaliers, puisqu’un CSI 1 étoile anime également le Maine Gaudin, à Saint-Palais-sur-Mer, depuis ce mercredi 26 juin, en parallèle des rituels concours pour jeunes chevaux et pour cavaliers amateurs, cette dernière épreuve faisant office d’étape de l’Amateur Gold Tour.
Plateau relevé
À la tête du Royan Horse Club, Jacques Couderc remercie l’été d’accompagner le retour du Jumping, même s’il a déjà réintroduit, en 2022, des CSI 3 étoiles au copieux programme annuel de ses concours. « C’est la première fois qu’on accueille un plateau aussi étoffé, ceci dit. Sur le seul CSI 3 étoiles, 92 cavaliers se sont engagés, ce qui nous a amenés, d’ailleurs, à programmer jeudi et vendredi deux épreuves sélectives pour le Grand Prix, dimanche, pour lequel nous n’autorisons que 60 cavaliers. » Les 30 premiers de chacune de ces deux épreuves sélectives seront qualifiés.
Jacques Couderc connaît son monde. Parmi les noms les plus réputés qu’il égrène pour illustrer la qualité du plateau d’engagés, la plupart ont validé, dès ce jeudi 27 juin, leur qualification pour le Grand Prix. C’est le cas notamment des inusables Alexandra Ledermann, 55 ans, et Michael Whitaker, 64 ans. La nouvelle génération fait bonne figure, face à ces légendes. Olivier Perreau en tête, venu prendre part à Royan à son dernier concours avec les Jeux olympiques auxquels il participera très vraisemblablement, si le sélectionneur de l’équipe de France de saut d’obstacles Henk Nooren ne modifie pas ses plans.
Un spectacle gratuit
Le reste du plateau est à l’avenant des cavaliers précités. Le Jumping de Royan peut se targuer des présences, également, du Belge Constant Van Paesschen, du Bordelais Olivier Robert, qui prendra la route de l’Allemagne la semaine prochaine pour y disputer le CSI 5 étoiles d’Aix-la-Chapelle, à l’instar de son compatriote Aurélien Leroy. Sans surprise, d’ailleurs, tous les deux prendront part au Grand Prix dimanche. Comme Grégory Cottard, Nicolas Layec ou encore Cédric Hurel.
Relevé et pointu sur la piste, ce concours international peut aussi être un spectacle et l’occasion pour les néophytes de (re)découvrir l’écrin majestueux du centre équestre de Royan. Jacques Couderc a pris le parti de laisser gratuit l’accès au site pendant les épreuves. Le gérant du Maine Gaudin n’a pu obtenir, comme escompté, la venue du Cadre noir de Saumur pour assurer une prestation durant ce Jumping. Les cavaliers internationaux, représentant cette année 13 pays différents, se chargeront à eux seuls d’assurer le spectacle.
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